"La traite robotisée nous apporte des avantages"

Investir dans la production laitière

L'exploitation agricole se compose de trois branches : un élevage laitier, un élevage bleu-blanc belge et un élevage de poules pondeuses biologiques. La ferme compte environ 70 et 80 hectares et Mathieu y cultive principalement du fourrage comme de l'herbe, du maïs et, à petite échelle, quelques céréales. "J'ai un cheptel de 70 vaches laitières traités par le nouveau robot de traite Astronaut A5 de Lely, environ 70 vaches blanc-bleu belge et un poulailler de 12 000 poules pondeuses, qui sont élevées selon un processus de production biologique", explique-t-il. Au début, Mathieu n'avait que des vaches de la race blanc-bleu belge. L'année dernière, il a décidé de retirer le capital de l'élevage de celles-ci pour l'investir dans la production laitière, notamment parce que l'étable disposait déjà des caillebotis-logettes. Cela a immédiatement rendu la production laitière plus gérable, dit Mathieu. "N'oubliez pas qu'il y a un an, je n'avais pas de vaches laitières. Donc, pour arriver au troupeau que j'ai maintenant, j'ai investi dans des bonnes génisses bonnes. J'ai inséminé les génisses et au fur à mesure que les vaches ont vêlé, le troupeau s'est constitué petit à petit. Je peux maintenant regarder en arrière d'environ un an et je suis à une moyenne de 10 800 litres par bête en 365 jours", précise-t-il.

L’agriculture intelligente est un choix

"L'agriculture intelligente me permet d'optimaliser ma production laitière et de gagner en flexibilité dans mes activités quotidiennes", dit Mathieu. Il y a un an, il a commencé les activités d'élevage laitier. Afin de pouvoir travailler de manière plus flexible, il a décidé d'installer un robot de traite Lely, à savoir le nouveau modèle A5. Il a également décidé d'acheter un robot-racleur pour les caillebottis (Lely Discovery) et un robot pousse-fourrage (Lely Juno) afin d'améliorer le bien-être de ses vaches et d'optimiser la production de lait. Si Mathieu s'est lancé dans l'élevage laitier, c'est parce qu'à la fin de chaque année comptable, il s'est avéré que le troupeau de bleu-blanc belge ne permettait pas d'amortir l'étable et l'activité de la ferme. "En raison de ma passion pour l'élevage laitier, j'ai décidé de retirer le capital de l'élevage bleu-blanc belge et de l'investir dans l'élevage laitier. L'intention est de rentabiliser l'étable et l'activité laitière dans tous les cas", explique Mathieu.

Lely et la traite robotisée

Mathieu est passionné par son métier, ses vaches et donc par l'élevage laitier dans son ensemble. "C'est le travail avec les animaux et de s'efforcer d'obtenr d'eux des performances optimales. En outre, l'élevage laitier présente de nombreux aspects qui m'intéresse, notamment la génétique, et l’amélioration de la reproduction de mon troupeau et l'optimisation de ma production laitière". Mathieu est conscient des nombreux développements et évolutions sur le marché agricole en Belgique. "Chaque structure est différente, mais pour améliorer sa compétitivité et sa rentabilité, il est nécessaire de réduire le prix de revient. Après tout, dans l'agriculture d'aujourd'hui, nous nous trouvons dans une position coercitive où les gens nous donnent ce qu'ils veulent donner", dit Mathieu. Il indique que lorsqu'une exploitation agricole a une capacité de production, l’objectif est de s’en rapprocher. "C'est là que Lely et la traite robotisée nous apportent des avantages. Bien sûr, un investissement est nécessaire, mais il y a aussi une augmentation de la production et une optimisation de la production laitière en tant que telle".

Mathieu précise qu'il a choisi Lely pour trois raisons. "Tout d’abord à cause de leur expérience dans le domaine de la traite robotisée, ensuite pour toutes les fonctions dont la machine disposait et que je voulais utiliser au quotidien, et enfin grâce à l'équipe Lely qui, à partir du moment où le projet est lancé, est tout autour de toi et ceci de A à Z."