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26 juin07:43

Faire du lait est bien plus intéressant avec des robots !

Gilles MONTECOT s’est installé sur la ferme familiale en 2000. La salle de traite ayant fait son temps, et afin de préparer le départ en retraite des parents de Gilles, il décide de s’équiper d’un robot Lely Astronaut A3 en 2008.

En 2013 il passe un nouveau cap en ajoutant un robot d’alimentation Lely Vector avant de remplacer son robot de traite avec un Lely Astronaut A5 en 2018.

Rachel, son épouse, le rejoint sur l’exploitation en 2019. La marche vers le futur ne s’arrête pas puisqu’en 2025 ils rallongent leur bâtiment en aire paillée, et aménagent une nouvelle nurserie. Ils gèrent maintenant leur troupeau laitier en 2 lots avec un second robot de traite toute nouvelle génération : Le Lely Astronaut A5 Next.

 

Profil de l’exploitation :

  • UTH : 4
  • SAU : 220 ha
  • 4 poulaillers labellisés
  • 8 ha de pâturage sortie robots
  • VL : 90, objectif 110 en croissance de cheptel interne
  • Production : 800 000 L de lait, objectif 1 200 000 L
  • Cellules 140k
  • TB / TP : 40 / 32

Chiffres-clé Lely Vector :

  • Nombre de rations : 6
  • Nombre de bols / jour : 15
  • Quantité distribuée / jour : 4 500 kg

 

Qu’est ce que vous apporte le Lely Vector ?

En 2013, on en était au tout début du Vector, le nôtre est le 2e seulement installé dans notre région. Notre objectif premier était de réduire le temps de travail sur l’atelier lait. Sur ce point c’est clairement un succès, avec un gain d’une heure de travail par jour, un temps précieux qui peut être mis en valeur sur d’autre tâches. Mais nous avons également gagné en productivité, et c’est dû uniquement à la régularité des mélanges et des rations. On est aussi passé de 2 à 6 rations.

Le Vector permet de faire de la vraie prépa-vêlage.

Il n’y a plus de gâchis. Le laser du Vector gère en toute autonomie le volume d’ensilage à l’auge, en fonction de la consommation et du nombre d’animaux car il communique avec le logiciel Lely Horizon. C’est flagrant en période de pâturage.

Petit point d’attention, il faut bien préparer les fourrages en amont. Pour les ensilages, il faut bien tasser, ensiler le maïs un peu plus vert qu’en système traditionnel, et ajouter un peu de conservateur pour les silos d’été.

Parlez-nous de l’atelier traite, qu’attendez-vous des dernières innovations Lely ?

Le passage du A3 au A5 avait déjà procuré un grand lot d’améliorations : rapidité de branchement et de traite, fiabilité de la machine, adaptation facilitée des vaches au robot.

Avec l’A5 Next, la nouveauté d’intégrer une caméra au système de branchement trouve tout sons sens dans l’évolution du robot. A terme, cette nouvelle caméra devrait faciliter les premiers scans sur les branchements des génisses.

Le nouveau M4Use est hermétique et moins salissant. Le nouveau système de canne à lait simplifie grandement l’entretien. Le tuyau qui va au M4use est nettoyé à chaque cycle de lavage acide-base. Les séparations de lait et de colostrum, même en petite quantité, sont entièrement récupérés et de façon plus propre. L’intérêt est de travailler encore plus efficacement sur la santé de nos veaux.

Que pouvez-vous nous dire de votre relation avec Lely ?

Une chose est sûre : On ne reviendra jamais en arrière, faire du lait est bien plus intéressant avec des robots !

Avec Lely, on savait dès le départ que nous étions avec un groupe solide. Nous entretenons une véritable relation de confiance avec le Lely center et ses équipes expérimentées et stables.