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30 avr.10:16

Récit d'expérience de Nadine avec les robots de traite Lely Astronaut A4

L'exploitation en chiffres : 

  • 2 robots Lely Astronaut A4
  • 1 robot repousse fourrage Lely Juno 
  • 2 UTH
  • 86 VL 
  • Référence laitière : 2684 kg / 31.3 kg
  • TB : 42.2 / TP : 32.8

Depuis plusiseurs années, Nadine et Eric, Pierre Holstein (86), ont
choisi d’automatiser leur exploitation laitière avec deux robots de traite Lely Astronaut A5 et un robot repousse-fourrage Lely Juno. Un choix qui a transformé leur quotidien et leur confort de travail.

Un tournant décisif pour l'exploitation 

Installée en GAEC avec son mari sur une ferme familiale de 220 hectares, Nadine a repris l’exploitation de ses parents en 2010. Avec 90 vaches laitières et un troupeau de 25 vaches allaitantes, elle a rapidement dû anticiper leur départ à la retraite. « Il fallait trouver une solution. C’était soit recruter deux salariés, soit investir dans
deux robots de traite », explique-t-elle. N’étant pas prête à gérer des employés au quotidien, elle a opté pour les robots Lely, convaincue par le retour d’expérience positif de sa soeur et par la qualité du service après-vente du Lely Center Granzay-Gript.

Une organisation du travail réinventée 

L'installation des robots a totalement modifié sont quotidien. « Avant, je faisais la traite moi-même. Aujourd’hui, je peux gérer seule les vaches laitières et la comptabilité, pendant que mon mari s’occupe de l’alimentation et des cultures. »

Cette nouvelle flexibilité lui a aussi permis de mieux concilier travail et vie de famille. « Nous avons 3 enfants, quand notre dernier fils était petit, j’ai pu être plus présente : sortie scolaire, être là pour les devoirs… Je peux désormais organiser mon travail en fonction d’eux et non l’inverse. »

L'arrivée du Juno, un atout supplémentaire


En 2016, le couple a renouvelé ses robots de traite pour des Lely A4 et a ajouté le robot repousse fourrage Lely Juno. "Quand on passe la journée aux champs ou en réunion, le fourrage ne se repousse pas tout seul. Avant, on le faisait trois à
quatre fois par jour quand on était présents, mais seulement matin et soir en notre absence, ce qui n’était pas suffisant », explique Nadine.

Désormais, le Juno passe 8 fois par jour, garantissant un accès continu à un fourrage de qualité. "Même si nous ne sommes pas là, les vaches mangent toujours bien et nous avons beaucoup moins de refus."

Un confort de travail inégalé

Au-delà du gain de temps, l’automatisation a eu un impact direct sur leur santé. "Avant, la traite me causait des douleurs au dos et aux épaules... On pensait même acheter un exosquelette ! Finalement grâce aux robots, plus de gestes répétitifs, plus de douleurs... Nous ressentons un vrai soulagement physique. "

"C'est plus souple, plus agréable et physiquement beaucoup moins éprouvant. C'est que du bonheur." 

Aujourd'hui, Nadine et son mari ne regrettent en rien leur investissement.