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Parcours éleveur :
Originaire d’Avignon, Cindy a fait des études agricoles sur l’amélioration des plantes et des semences. Dans un premier temps, elle met en place un atelier de production de semences sous serres mais en s’installant avec ses beaux-parents, s’intéresse de plus en plus à l’élevage. « L’élevage me plaisait mais pas forcément la traite »

Pourquoi le robot de traite :

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Quand les beaux-parents sont partis en retraite, il a fallu faire la transition d’où l’idée de la robotique. Les contraintes horaires en salle de traite ce n’était pas possible, ils ont 3 enfants et veulent en profiter. Pour leurs enfants c’est « normal » ils n’ont connu que ça, ils sont habitués comme ça. Le passage à la robotique, ils l’ont fait « pour eux » pour leur couple et leur organisation de leur vie de famille.

« La traite ce n’est pas du temps de gagné. Avec les robots, on peut approfondir ce temps pour travailler sur la génétique, les rations. On connaît aussi mieux les vaches, leur comportement on passe du temps avec elle au milieu d’elle, le troupeau est plus apaisé car on ne les force pas à se lever. On a les vaches en permanence avec nous, on se lève le matin et la 1ère chose qu’on fait en buvant le café, c’est regarder les vaches en retard et en chaleur.

En journée, on contrôle sur le téléphone portable quand on est au milieu d’elles, on voit tout de suite laquelle a besoin qu’on s’occupe d’elle. On vérifie le T4C dans le bureau du GAEC sur l’ordinateur, et aussi dans le bureau du salon à la maison. Ça a vraiment un côté rassurant de pouvoir garder toujours un oeil sur elles. On peut réagir très rapidement, anticiper avec le paramètre Santé mamelle par exemple, on sait celles qu’il faut surveiller pour éviter les mammites.

Nous n’avons pas vraiment fait de calculs précis mais nous avons moins de frais de vétos depuis que nous avons les robots c’est certain, on fait moins de traitements antibios et les soins sont mieux ciblés et plus précis. »

Quid des Alarmes qui peuvent freiner certains éleveurs : « sur une année s’il y en a 1 par mois c’est le grand maximum et encore ce n’est même pas sûr… »

Entretien au quotidien du robot : « ça se fait facilement nettoyage du robot, débouchage de la descente d’alimentation si besoin, changement des bidons etc… »

Le Lely Center de Cholet

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il y a plus de 10 ans, un premier contact avec les beaux-parents mais ils n’étaient pas intéressés à l’époque, c’est Cindy et Gaël qui sont revenus vers François pour leur projet. « Avec les techniciens la mise en route s’est déroulée facilement, on était très bien préparé avant on était « hyper prêts » du coup on n’était pas stressé et les animaux l’ont ressenti, ça ne les a pas impactés ».
FMS Florence « jamais vu encore, pas eu besoin, la verra pour la mise en place du Vector ».

Techniciens du LC : dépannage par téléphone disponibles 24/24 heures très disponibles.

Différence Homme Femme dans la conduite de l’élevage :

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« Prendre le temps avec les animaux, pour en gagner après, on panique moins vite. Quand les génisses sortent, le fait de leur parler pour les faire avancer, le ton de la voix ça a de l’importance, c’est différent, elles sont plus calmes gloabalement, quand c’est moi qui m’en occupe. »

Groupe lait femme : chacune avec des formations spécifiques et des parcours différents, toutes travaillent sur leurs exploitations à temps complet, sortir du cliché de la femme qui fait la traite et la compta. Etude de l’aromathérapie, homéopathie, comportement animal, technique d’écornage … pour pouvoir ensuite les mettre en pratique sur leurs exploitations au quotidien. Groupe lait robot homme de son mari : ils sont plus axés sur le matériel, les techniques etc…

Les plus et les moins

Aime le +
« Relation avec les animaux, travailler avec du vivant, chaque jour est différent avec son lot de suprises en bien comme en mal, jamais la même chose, « on sait toujours à quelle heure on commence », travailler n’est pas une contrainte mais une passion. Faire nos choix à nous. Se remettre en question régulièrement pour pouvoir progresser. »

Aime le –
« Le système de bâtiment hors sols, pas vraiment naturel, d’où le changement vers le Vector, pâturage, Grazeway, voir les vaches dans les champs et sortir. Partir vers un bâtiment ouvert sur l’extérieur aussi pour qu’elles aient moins chaud et plus d’aération. »

 

Pourquoi le Vector :

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Désileuse toujours connu que ça, mais comme il y a de plus en plus de vaches, c’est son mari qui prépare et s’en occupe 3 fois par jour, essai d’autres matériels mais rien ne leur convenait. Avec le projet de pâturage le Vector leur semblait le mieux adapté car c’est difficile de gérer l’alimentation avec le pâturage, si elles rentrent toutes en même temps pendant un orage ce n’est pas la panique, il n’y a pas de gaspillage et la ration reste fraîche. Ce qui les a attirés vers le Vector, c’est l’aspect technique, économique et ils se sont fait plaisir.

La ferme

  • 2 UTH : Cindy depuis septembre 2010 et son mari Gaël depuis janvier 2016 au départ en retraite de ses parents
  • 1 Astronaut A4/ Agrandissement 1 Astronaut A5 et 1 Lely Vector prévus pour octobre 2018 dans nouveau bâtiment
  • 75 vaches laitières Holstein, production moyenne 10 000 litres/vaches
  • 700 000 litres produits
  • SAU : 90 hectares
  • Alimentation : 2/3 maïs et 1/3 Ray-Grass, enrubannage, tout est produit sur la ferme
  • Laiterie « LDSH » et « c’est qui le patron ? »

Pourquoi Lely?

Partout dans le monde, les éleveurs font des choix sur la manière d'organiser et de gérer leur élevage. Chaque jour, nous les aidons à prendre les meilleures décisions, tant pour eux que pour leur élevage. Nous les conseillons et nous leur fournissons des solutions innovantes qui contribuent à une gestion efficace de leur élevage. Pour une production durable de lait et de viande. Aujourd'hui et demain.

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